Carburants : nous n’avons pas à payer pour travailler !

Carburants : nous n’avons pas à payer pour travailler !

Communiqué de l’UD FO de la Mayenne à lire et à télécharger

Les prix des carburants explosent : les personnels n’ont pas à payer pour travailler !

La FNEC FP-FO exige des mesures d’urgence !

Dans sa dernière allocution télévisée sur la question de la guerre en Ukraine, le président-candidat Macron annonce à la population des sacrifices à venir. Le ministre Le Maire évoque même une « guerre économique » contre la Russie…

D’ores et déjà les prix des carburants explosent et les prix n’en finissent plus de grimper.

Face à l’inflation galopante, la FNEC FP-FO refuse de taire ses revendications au nom de « l’union nationale » souhaitée par le président Macron et revendique :
Augmentation de 22,68 % de la valeur du point d’indice
– Augmentation immédiate de 183€ indiciaire net mensuels pour tous les personnels de l’Éducation nationale, comme l’ont obtenu les hospitaliers

Mais la brutale augmentation du prix des carburants a également des conséquences inacceptables pour les personnels itinérants, qui sont amenés à se déplacer d’école en école, d’établissement en établissement, comme par exemple les, remplaçants, les psychologues de l’ Éducation nationale, les membres des RASED, les infirmières et médecins scolaires, les AESH soumis aux PIAL …

Or, les remboursements de leurs frais, qui reposent sur des enveloppes fermées, étaient déjà largement insuffisants depuis des années… Aujourd’hui, une nouvelle étape est franchie et la situation devient insupportable pour ces personnels. Il y a urgence à prendre en charge l’intégralité des déplacements effectués. En outre, il faut revaloriser les taux des indemnités kilométriques prévues à l’article 10 du décret du 3 juillet 2006, comme le revendique la FGF-FO.

L’ISSR (indemnité de sujétion spéciale de remplacement) s’avère insuffisante pour les personnels remplaçants dans le 1er ou dans le 2nd degré alors que déjà, le 10 décembre dernier, dans une situation antérieure à la guerre en Ukraine, la FNEC FP-FO s’adressait au ministre Blanquer pour s’alarmer de la hausse des prix des hydrocarbures et revendiquer une augmentation significative de l’indemnité de sujétion spéciale de remplacement par la revalorisation du taux journalier moyen de l’ISSR et une revalorisation du paiement des frais de déplacement pour les personnels en postes fractionnés.
Ces exigences demeurent plus que jamais d’actualité.

Les personnels n’ont pas à faire les frais de la « guerre économique » de Macron !

Tout cela dans une situation où la valeur du point d’indice a été bloquée cinq ans de suite sous le quinquennat du président Macron (du jamais vu !), où les fonctionnaires ont perdu plus de 22% de pouvoir d’achat depuis 2000, où les AED et AESH sont maintenus sous le seuil de pauvreté par le gouvernement Macron-Blanquer… !

La FNEC FP-FO s’adresse en urgence au ministre Blanquer pour exiger :
– L’augmentation du taux journalier moyen de l’ISSR
– La revalorisation du paiement des frais de déplacement pour les personnels en postes fractionnés
– La prise en charge de la totalité des frais de déplacements pour les personnels itinérants, et la revalorisation des indemnités kilométriques.

AESH : Pétition Nationale FO-FCPE

AESH : Pétition Nationale FO-FCPE

Pétition à signer en ligne ci-dessous ou à télécharger en pdf pour impression ou formulaire pdf numérique (à renvoyer par email)

Monsieur le Ministre,

Depuis un an, les mobilisations des personnels AESH ont été des succès incontestables, démontrant que la colère s’amplifie. Ces mobilisations, largement relayées dans les médias, rassemblent des cortèges imposants partout en France : la mobilisation ne faiblit pas.

Les AESH contribuent pleinement par leur professionnalisme à la réussite de la scolarisation des élèves en situation de handicap. Pourtant, le ministre Blanquer a maintenu son attitude méprisante envers ces collègues :
-la précarité et un salaire insuffisant avec des temps incomplets imposés qui les contraignent au cumul d’emploi, dans un contexte où le coût de la vie explose ;
-Les PIAL qui dégradent leurs conditions de travail. C’est une politique du chiffre au détriment de la santé mentale et physique qui aboutit à de nombreuses démissions ;
-L’absence de reconnaissance du métier qui conduit à la perte de sens de leur mission, notamment par le saupoudrage de l’accompagnement des élèves.

Monsieur le Ministre, il y a urgence à répondre à nos revendications. Il faut :

-augmenter les rémunérations de toutes et tous les AESH sur toute leur carrière, avec comme objectif l’alignement sur la grille de catégorie B ;
-prendre en charge tous les déplacements et revaloriser les indemnités kilométriques ;
-leur garantir la possibilité de travailler à temps complet pour vivre de leur travail ;
-abandonner les PIAL et la politique de mutualisation des moyens ;
-créer un véritable statut de la Fonction publique pour reconnaître le métier d’AESH ;
-donner l’accès à des formations qualifiantes à la hauteur des missions ;
-recruter les AESH qui manquent pour permettre à tous les élèves en situation de handicap de bénéficier d’un accompagnement qui correspond pleinement à leurs besoins.

Pétition AESH FO-FCPE

Nom(Nécessaire)

Le budget des armées explose, les classes ferment, les salaires restent bloqués

Le budget des armées explose, les classes ferment, les salaires restent bloqués

Le budget des armées explose, les classes et les postes ferment, les salaires restent bloqués : inacceptable !

Lors de son allocution télévisée du 2 mars, le président Macron a annoncé que le budget des armées allait fortement augmenter. Rappelons que celui-ci a progressé de 1,7 milliards d’€ chaque année depuis 2017 et qu’à compter de 2023 cette augmentation devrait atteindre 3 milliards d’€ par an.

Et pendant ce temps, le président Macron a supprimé près de 18 000 lits d’hôpitaux depuis le début de son quinquennat.

Et pendant ce temps, le ministre Blanquer a rendu 675 millions d’€ sur son budget ces deux dernières années ; pour la rentrée 2022, il supprime 410 équivalents temps plein d’enseignants dans le 2nd degré (alors que 1 883 postes ont déjà été supprimés en 2021) ainsi que 30 postes chez les personnels administratifs.

Au moment où les dépenses militaires explosent, ces sont des milliers de classes et de postes qui sont fermés dans les écoles, les établissements et les services suite aux comités techniques dans les départements et les académies.

Ces mesures provoquent d’ailleurs la résistance des personnels. Les rassemblements, les grèves se multiplient. La FNEC FP-FO les soutient. Que ce soit au nom de la pandémie ou au nom de la guerre, il ne saurait être question, pour la FNEC FP-FO, de suspendre les revendications.

Par ailleurs, les menaces de « guerre économique » affirmées par le gouvernement ne manqueront pas d’engendrer toujours plus d’austérité pour les salariés, comme en témoignent déjà les hausses alarmantes des prix, en particulier du carburant, alors que, durant ce quinquennat – et c’est une première – le point d’indice aura été complètement gelé, portant ainsi à 22,68 % la perte de pouvoir d’achat des fonctionnaires, et donc des personnels de l’Education nationale depuis 2000.

Dans cette situation, la FNEC FP-FO revendique plus que jamais :
– Le recrutement immédiat de personnels sous statut à hauteur des besoins !
– Aucune fermeture de classes ou de postes à la rentrée ! Création de tous les postes nécessaires !
– Augmentation de 22,68% de la valeur du point d’indice !
– Augmentation immédiate indiciaire de 183€ net par mois pour les personnels de l’Education nationale, comme l’ont obtenue les hospitaliers !

La FNEC FP-FO réaffirme son soutien à la population ukrainienne, comme à toutes les populations victimes de la guerre, et en particulier à tous les travailleurs et à leurs syndicats. Elle salue les courageuses prises de position contre la guerre au sein du peuple russe. Elle appelle à l’arrêt immédiat des opérations militaires, d’où qu’elles viennent.

Montreuil, le 5 mars 2022

Évaluations nationales : abandon définitif !

Évaluations nationales : abandon définitif !

Évaluations nationales : abandon définitif !

Télécharger le communiqué

Le courrier du SNUDI-FO 53 au DASEN (copie aux IEN)

Le communiqué départemental SNUDI-FO, SNUipp-FSU, UNSA, CGT, Sud


Depuis des semaines, les personnels font face à une situation intenable dans les écoles du fait des protocoles inapplicables du ministre Blanquer et du manque de personnel. C’est dans cette situation que la colère des personnels a explosé le 13 janvier avec une grève massive dans les écoles qui a contraint le ministre d’annoncer le recrutement immédiat de la totalité des candidats aux concours inscrits sur les listes complémentaires. C’est une première victoire même si le SNUDI-FO continue de revendiquer le recrutement immédiat d’enseignants sous statut à hauteur des besoins pour assurer le remplacement des enseignants absents. Rappelons qu’en Mayenne, il y avait jusqu’à plus de 70 PE non remplacés par jour fin janvier !

Suite à la grève du 13 janvier, le ministre a également décidé de reporter les évaluations CP. Lors d’un groupe de travail le 15 février, il a annoncé qu’elles auront finalement lieu à cette rentrée.

Dans un courrier au ministre le 14 janvier 2019, les organisations syndicales SNUDI-FO, SNUipp-FSU, SE-UNSA, SGEN-CFDT, CGT Educ’action et SUD Education affirmaient unanimement : « Monsieur le Ministre, nous demandons l’abandon de ce protocole d’évaluation. »Au vu de la situation actuelle, cette exigence est encore plus légitime.

Aujourd’hui, des syndicats d’IEN appellent les IEN à n’exercer aucune pression sur les enseignants de CP ou de leurs directeurs d’école pour les contraindre à réaliser ces évaluations.

Ils ont raison ! L’urgence n’est pas de contraindre les personnels à effectuer coûte que coûte ces évaluations CP ! L’urgence est de rétablir des conditions de travail acceptables pour les collègues de CP, comme pour tous les autres, avec :

  • Le respect de la liberté pédagogique des personnels et en stoppant cette culture de l’évaluation permanente chère au management Blanquer !
  • Le recrutement immédiatement des enseignants sous statut à hauteur des besoins pour que tous les enseignants absents soient remplacés !
  • L’annulation des fermetures de classes prononcées en CTSD et CDEN et en ouvrant toutes les classes et tous les postes nécessaires !
  • Le recrutement des AESH à hauteur des besoins pour que les élèves en situation de handicap bénéficient de toutes leurs heures d’accompagnement !

Le SNUDI-FO 53 exige qu’aucune pression, qu’aucune sanction ne soit mise en œuvre vis-à-vis des personnels qui feraient le choix de ne pas faire passer ces évaluations et intervient en ce sens auprès du DASEN.

Laval, le 22 février 2022

Point “sanitaire” départemental du 2.02.22

Point “sanitaire” départemental du 2.02.22

Point “sanitaire” du 2 février 2022

Nous sommes intervenus en préambule pour expliciter notre point de vue sur cette nouvelle “instance partenariale de concertation sur la question de la gestion de la crise sanitaire en milieu scolaire” dont la création est une conséquence de la mobilisation du 13 janvier. 

Voici notre intervention :

Notre organisation syndicale n’était pas demandeuse de cette nouvelle “instance partenariale”. 

Tout d’abord parce que FO n’a pas vocation à être un “partenaire social”, au sens où certains l’entendent, mais reste le représentant de ses seuls mandants, à savoir les personnels, dont nous défendons les intérêts particuliers.

Nous nous interrogeons donc sur la mise en place de cette nouvelle instance et, si le cas devait se présenter, nous refuserons d’être associés à des aménagements de protocoles inapplicables et qui de toute façon, cela a été démontré, n’ont pas d’intérêt à protéger les personnels, et qui dans les faits n’ont généré que chaos et désorganisation dans les établissements scolaires.

Nous rappelons ici qu’il existe des instances, à savoir les comités techniques et les comités hygiène sécurité et conditions de travail, qui sont  largement sollicités par les collègues et qui ont les prérogatives d’émettre des avis, sur les consignes et mesures de sécurité prises par l’employeur. 

Nous profitons donc de ce GT pour demander la réunion d’un nouveau CHSCT dans les meilleurs délais, et nous vous remercions de bien vouloir acter cette demande.

Pour notre organisation syndicale, la réponse prioritaire aux problèmes évoqués par les personnels lors de la grève du 13 janvier ne réside pas dans le fait de multiplier les protocoles, mais dans la création de postes et le recrutement de personnels à hauteur des besoins qu’ils soient enseignants, de vie scolaire, administratifs, psychologues, médecins, infirmières scolaires et assistantes sociales, et donc, pour commencer, par l’ouverture et le ré-abondement de toutes les listes complémentaires.


A l’issue de la réunion, FO s’est adressé aux syndicats départementaux (CGT, FSU et UNSA) pour demander ensemble des CHSCT en lieu et place de ces “instances partenariales”. Seule la FNEC-FP FO a finalement formulé cette demande (lire le courrier au DASEN du 14.02.22)


Lire les comptes-rendus FO des derniers CHSCT


Questions diverses posées par FO

1- Absences des enseignants : Un état des lieux complet des absences non remplacées depuis septembre existe-t-il ? S’il n’existe pas, serait-ce possible de l’établir ?

Face à l’insistance du SNUDI-FO 53 qui demande depuis des mois d’avoir un état des lieux régulier des absences non-remplacées, grâce à vos remontées régulières (pas de remplaçant je signale au SNUDI-FO), l’administration accepte enfin de communiquer la réalité, qui confirme notre analyse et les données dont nous disposons déjà : chaque jour des dizaines de PE ne sont pas remplacés depuis des semaines. Comme nous l’écrivons dans notre compte-rendu du CTSD du 1er février, il y avait 71 PE non remplacés le 28 janvier !!!

2- Contractuels :

Vous avez annoncé le recrutement de 7 contractuels dans le 1er degré : pourriez-vous nous préciser sur quel type de contrat et leur temps de travail ?

4 personnes contractuels / 7 sont recrutés à ce jour, jusqu’à la fin de l’année.

12 étudiants recrutés en première année de master MEEF qui feront ⅓ ETP soit 4 ETP. Un vendredi (1 j /semaine en filé) puis en période massée. Ce qui équivaut à un temps de travail à hauteur de 33%. Ils seront positionnés sur des remplacements « formation ».

3- Renfort administratif : enveloppe de 9 ETP

Un recrutement de 9 contractuels est en cours, pour « aider » les collègues dans la gestion COVID dans les écoles. Même si cette idée est louable sur le fond, elle n’est pas suffisante. (Cela représenterait deux aides par circonscription)

Ce dispositif est ponctuel (pour cette année) et permet de déployer en début de journée une aide ponctuelle en école en réaction à une situation liée au contexte sanitaire tendu. Ce dispositif est piloté par la cellule COVID et les circonscriptions.

Les retours du terrain nous ont permis de préciser la vision des collègues directeurs et leurs inquiétudes sur cette aide administrative.

Pour certains directeurs, l’arrivée d’une personne « étrangère » au fonctionnement de l’école va entraîner un surcroît de travail du fait d’un tuilage inévitable. Même si une aide au recueil des autorisations pour les dépistages, et à la remontée d’informations à la cellule COVID et à la sécurisation des données est nécessaire, il aurait été souhaitable que ces « aides » soient des PE. Ceux-ci seraient ainsi en capacité de remplacer le directeur dans sa classe, pour pouvoir s’occuper sereinement de la gestion administrative additionnelle liée au COVID.

FO revendique le retour des aides administratives par école.

4- Télétravail :

Pouvons-nous avoir un état des lieux des personnels placés en télétravail ? (Catégories, Affectation, Nombres de jours télé-travaillés, Équipements fournis, Respect de la réversibilité)

Pour les personnels administratifs: Organisation d’un télétravail sur 2 jours avec une indemnité de télétravail.

Concernant les personnels enseignants: pas de chiffre. Pas d’indemnisation prévue à sa connaissance en dehors de la prime informatique du mois de janvier.

Considérant les conséquences constatées du télétravail sur les personnels contraints d’y avoir recours tant dans le cadre de la continuité administrative que pédagogique, la FNEC-FP FO 53 avait déjà demandé la confirmation de la bonne prise en charge de tous les frais et équipements. Pourriez-vous nous le confirmer ?

Pas d’information complémentaire. Monsieur Vauléon explique qu’il pourrait envoyer une enquête aux directeurs à ce sujet.

Pour rappel, la FNEC-FP FO 53 demande également que des mesures soient prises sur tous les risques professionnels liés à l’exercice du télétravail : troubles musculo-squelettiques, troubles RPS. (Avec par exemple la diffusion d’informations, mise en place de formation conformément aux articles L.4141-1 et suivants du code du travail).

La FNEC-FP FO 53 demande qu’un travail spécifique sur le sujet soit mis en œuvre dans le cadre du CHSCT. Concernant la prise en compte des risques professionnels liés au télétravail, Mr Vauléon nous répond pouvoir prévoir de l’aborder en CHSCT.

5- Protocoles :

– Quid des tests salivaires dans les écoles ?

Ils vont être repris après les vacances, en fonction du nouveau protocole.

-Règle des 25% ? (si 25% d’élèves de la même classe sont positifs, la classe est censée fermer)

 Pourquoi n’est -elle pas appliquée de manière impartiale ? comme cela a été le cas dans certaines écoles.

Pour le directeur académique, à partir de 25% d’élèves positifs, ce chiffre devient un point de vigilance, ce n’est pas “une règle précise”. Selon lui, cela n’a jamais été une règle. La décision incombe au directeur académique et ses équipes (madame Arnaud et la cellule COVID) qui étudie le nombre de cas sur 2, 3, 4 jours qui se “positivait”; pour envisager ou non une fermeture.

Nous lui avons rappelé que cette gestion « au doigt mouillé » générait confusion et agacement de la part des parents, et mettait nos collègues directeurs en réelle difficulté; le SNUDI-FO a été saisi par plusieurs directeurs du département mis en porte-à-faux face à cette cacophonie.

6-Personnels vulnérables :

Pourriez-vous nous préciser combien de personnels sont placés en ASA en raison de leur vulnérabilité au sens de la circulaire du 09/09/21, et quelles sont leur catégories ? Deux PE en ASA. Pas de chiffre communiqué pour les PLC/PLP.

7-Livraison des masques :

– Quand seront livrés les masques chirurgicaux et FFP2 ; quels sont les modèles de masques livrés ? Quelles sont les modalités de livraison dans les écoles ?

Les masques FFP2 (que FO revendique depuis 2 ans !)

 Ils sont livrés à la DSDEN et sont en train d’être acheminés dans les collèges du secteur. Ils sont attribuables en priorité aux personnels et ATSEM d’écoles maternelles et des écoles élémentaires qui le souhaitent. Attribution de 8 masques par semaine par agent.

Les masques chirurgicaux de type IIR

Ils sont en train d’être acheminés dans les collèges de secteur pour les PE et dans les EPLE pour le second degré. Ils sont destinés au personnels rémunérés par l’Etat en contact avec des élèves (personnels enseignants, administratifs, santé/social, AESH, service civique, AED… La dotation est assurée par deux masques par jour et par agent. Chaque agent recevra une boîte de 50 masques /mois.

Les masques inclusifs :

A destination des enseignants de maternelle et de CP à raison de 8 masques par agent.

– Tests : des collègues nous informent que les

pharmacies n’ont pas toujours suffisamment d’auto-tests en stock.

Ce type d’instance partenariale de concertation sur la situation sanitaire devrait être réunie tous les 15 jours, FO s’adresse aux autres organisations syndicales pour demander un CHSCT en lieu et place de ces réunions.

CTSD carte scolaire du 01.02.22

CTSD carte scolaire du 01.02.22

Ce CTSD de repli fait suite au vote unanime CONTRE le projet de carte scolaire présenté par le DASEN lors du CTSD du 24 janvier, et qui l’a contraint à réunir ce nouveau CTSD.

Entre ces deux réunions, le SNUDI-FO 53 était aux côtés des enseignants, des parents et des élus qui souhaitaient défendre leur école, en particulier, Montigné le Brillant, Grez-en-Bouère et la Baconnière.

La belle mobilisation de l’école de Montigné le Brillant, avec les parents d’élèves, et le SNUDI-FO 53 qui était à leurs côtés et a organisé la résistance, permet d’obtenir l’ouverture d’une cinquième classe ! Cette victoire, n’efface cependant pas les revendications non satisfaites comme la fermeture à la Baconnière ou à Grez en Bouère ou la situation sur le RPI le Ham/Loupfougères.

17 fermetures de classes pour seulement 5 ouvertures !

La déclaration FO

Le tableau des décisions prises par le DASEN


Malgré de petits ajustements à la marge, le DASEN n’a encore pas satisfait les revendications portées par FO ; l’ensemble des organisations syndicales a de nouveau voté unanimement CONTRE ces décisions.

C’est confirmé (s’il en était besoin) : Les postes T2R et TRZU servent uniquement de variables d’ajustement, et sont déployés au gré des fermetures décidées ici ou là. (lire à ce propos nos analyses en 2019).

Des revendications précises : Le SNUDI-FO 53 a fait remonter les revendications chiffrées et précises issu du terrain :  Pour la Mayenne, pour que nous puissions travailler dans de bonnes conditions, pour assurer le suivi de tous nos élèves, pour être remplacé lorsque nous sommes en formation ou en congé maladie, il faudrait une dotation de 41 postes pour cette rentrée 2022 ! On est bien loin du compte.

A NOTER : A propos des dédoublements de classes de GS-CP-CE1 ou des « mesures à 24 » pour des classes de GS, CP, CE1, il faut avoir à l’esprit quetous les ans, les effectifs seront étudiés à la loupe pour ces niveaux-là ! Les écoles n’ont pas fini de subir les effets « yoyo » sans compter les collègues qui ne risquent de changer régulièrement d’école.

POINT DE VIGILANCE : Les chiffres remontés par les directions d’écoles montrent un écart avec les chiffres du ministère.  En réalité pour la Mayenne, il faut compter 100 élèves de plus ! Le DASEN reconnaît aujourd’hui l’estimation ministérielle erronée. Cette erreur a malheureusement des conséquences directes et concrètes sur les conditions de travail de certains de nos collègues. Il ne nous semble pas acceptable que le DASEN ait des décisions à prendre, en se basant sur des chiffres erronés ; décisions qui ont des conséquences directes sur les ouvertures et les fermetures de classes.

La délégation FO est ainsi intervenue dans ce CTSD pour demander les postes manquants. 

Le DASEN répond à FO qu’il faudra attendre la dotation 2023 pour voir cet écart compensé par une dotation supplémentaire. Le SNUDI-FO n’en restera pas là et interviendra à tous les niveaux pour qu’une dotation supplémentaire soit effective.

Des dispositifs et de l’accompagnement en veux-tu en voilà : De plus la priorité sur les dispositifs ministériels (dédoublements REP+…), sur l’accompagnement PPCR avec la création de 3,5 postes de CPC, et sur les dispositifs inclusion scolaire, ne répond pas aux besoins urgents de « classes ».


Questions diverses envoyées par FO:

Liste complémentaire : 

Nous demandons à ce que la liste soit ré-abondée à hauteur des besoins et a minima pour atteindre les 25 prévus initialement sur l’académie.

Nous avons la confirmation que deux PES sont recrutés sur liste complémentaire et sont affectés en Mayenne.

Rappel avis présenté par FO le 24 janvier 2022:
Le CTSD réuni le lundi 24 janvier 2022 constate que le nombre d’inscrits sur liste complémentaire dans l’académie ne permet pas de pallier le manque de moyens.
En ce sens, le CTSD demande le ré-abondement de la liste complémentaire pour permettre le recrutement de fonctionnaires stagiaires à hauteur des besoins urgents pour :
-qu’aucune fermeture de poste ne soit décidée;
-l’ouverture de toutes les classes réclamées par les équipes enseignantes
-la création immédiate de postes RASED pour le renforcement des réseaux d’aides dans toutes les circonscriptions du département
-la création de postes de remplaçants à hauteur des besoins
POUR : FO et CGT
REFUS DE PRENDRE PART AU VOTE : FSU et UNSA 

Contractuels : un recrutement de 47 personnes (effectifs académiques) jusqu’à la fin de l’année scolaire est-il confirmé ? Quel sera le type de contrat ? Quel sera leur temps de travail ? Où pourront-ils être affectés ?

  • 7 contractuels pour la Mayenne (3 de plus qu’annoncé en CTSD du 24 janvier). Droit de tirage ? Contractuel enseignants
  • Les services administratifs recrutent des contractuels “administratifs” pour une aide à la direction, dont le but est de sécuriser les données sensibles liées au COVID. Nous sommes par ailleurs informés par les collègues dans les circonscriptions de ce recrutement. 

Pour le SNUDI-FO, certes, le recrutement d’aides administratives est une revendication, cependant, le recours aux contractuels ne permet pour l’instant qu’un maigre saupoudrage, entraînant en réalité davantage de travail de tuilage pour les directeurs que d’allègement… puisque seulement une (ou deux) aides est prévue par circonscription…

Remplacements : Peut-on avoir un état des lieux des absences non remplacées depuis le début de l’année ?  Pas de réponse

A noter : le SNUDI-FO a appris hier que 71 absences sur le département n’étaient pas remplacées pour la seule journée du 28 janvier.

Personnels vulnérables : Pourriez-vous nous préciser combien de personnels sont placés en ASA en raison de leur vulnérabilité au sens de la circulaire du 09/09/21, et quelles sont leur catégorie ? Pas de réponse

Nous devrions obtenir davantage de réponses lors du point « sanitaire » organisé demain, à l’issue d’un groupe de travail « lignes directrices mouvement ».


Le SNUDI-FO 53 n’en restera pas là et interviendra à tous les niveaux (DASEN, recteur, ministre) pour faire en sorte que nous revenions à une situation normale de recrutement d’enseignants sous statut, fonctionnaires d’Etat !

Il reste le CDEN de jeudi 3 février pour que cette carte scolaire soit entérinée.

Compte-rendu de la réunion avec le cabinet du ministre le 19 janvier (suite à la grève du 13)

Compte-rendu de la réunion avec le cabinet du ministre le 19 janvier (suite à la grève du 13)


Un « point sanitaire » a été organisé par le cabinet du Ministre Blanquer. Il s’agissait de décliner les annonces du Premier Ministre Castex au soir de la grève du 13 janvier.

Postes : le ministère annonce le recrutement de la totalité des candidats aux concours inscrits sur la liste complémentaire dans le 1er degré

Le représentant du ministre a indiqué que, concernant le 1er degré, le ministère allait solliciter l’ensemble des 812 personnes qui sont inscrites sur les listes complémentaires des concours de recrutement de professeurs des écoles afin qu’elles soient recrutées sous statut (25 pour l’académie de Nantes). Les listes complémentaires déjà recrutés en tant que contractuels auront également vocation à être intégrés dans la Fonction publique.

Le ministère, contrairement à ce qu’il argumentait jusqu’à présent, confirme ainsi l’analyse de de la FNEC FP-FO qui a toujours maintenu, sur la base des textes règlementaires, que les candidats aux concours pouvaient être recrutés jusqu’à la date du concours suivant.

Lire le courrier FO au ministre, du 20 janvier 2022

Depuis deux, ans, la FNEC FP-FO ne cesse de marteler à tous les niveaux, seule ou de manière intersyndicale, la nécessité de recruter l’ensemble des candidats aux concours inscrits sur les listes complémentaires. Il aura fallu la puissance de la grève du 13 janvier pour contraindre le ministère à effectuer cette annonce !

Pour autant tout n’est pas réglé et cette annonce est loin d’être suffisante :

• Les listes complémentaires sont limitées voire inexistantes dans certaines académies : malgré les questions de la FNEC FP-FO, le ministre n’annonce ni réabondement, ni concours extraordinaire !
• Aucun recrutement supplémentaire n’est annoncé dans le 2nd degré alors que les collèges et les lycées sont exsangues !
• Les mesures de fermetures de classes ou de postes se poursuivent actuellement dans les CTSD et les CTA !
• Le recours aux contractuels précaires et sous-payés sera parallèlement amplifié jusqu’à la fin de l’année scolaire !

Plus que jamais, l’heure est à la réunion des personnels lister les besoins, refuser les suppressions de postes qui sont annoncées, et discuter des moyens efficaces pour gagner sur toutes les revendications. La FNEC FP-FO appelle à préparer une grève massive jeudi 27 janvier !

Tous les personnels absents doivent être remplacés par des enseignants sous statut ! Aucune fermeture de poste ou de classe ne doit avoir lieu lors des opérations de carte scolaire ! Toutes les ouvertures nécessaires doivent être prononcées !

Salaires : RIEN !

Durant la réunion, la FNEC FP-FO ont interpelé les représentants du ministère en exigeant l’augmentation des salaires pour les personnels, par l’amélioration de la valeur du point d’indice (+22,6%), par une augmentation indiciaire nette de 183€ par mois, comme l’ont obtenue la totalité des personnels hospitaliers.

A quelques jours d’une grève interprofessionnelle appelée justement sur la question des salaires, aucune réponse du ministère… Inacceptable !

Toujours aucun mot non plus concernant les AESH et les AED, leur salaire, leur statut !

Une instance « partenariale » pour élaborer les prochains protocoles

Le directeur de cabinet a annoncé la création d’une instance « partenariale » qui serait composée de l’administration de deux représentants par organisations syndicales du CT, mais à laquelle pourrait participer les associations d’élus ou de médecins du haut conseil de la santé public. En clair, ils tentent d’associer les syndicats à l’élaboration des protocoles rejetés par les personnels. Cette instance serait déclinée au plan académique en associant les ARS.

La FNEC FP-FO a rappelé qu’il existe des CT et des CHSCT qui ont les prérogatives d’émettre des avis sur les consignes et mesures de sécurité prises par l’employeur. Elle a indiqué que la création de cette instance ne faisait pas partie des revendications qui ont surgi de la grève du 13 septembre et que FO n’en est pas demandeuse.

Equipements et protocoles

Le directeur de cabinet s’est contenté d’indiquer les efforts du ministère pour fournir les 55 millions de masques chirurgicaux et les 5 millions de masques FFP2 servis en priorité dans les écoles maternelles.

La FNEC FP-FO a rappelé que les protocoles inapplicables étaient l’élément déclencheur de la grève du 13 janvier. Les protocoles sont intenables. Ils sont une source de conflits entre les personnels et les parents d’élèves : que fait-on avec les élèves déposés par les parents le matin devant l’école et qui n’ont pas de déclaration sur l’honneur ? Comment gérer l’arrivée des élèves au compte-gouttes, tout au long de la journée, en fonction des résultats de leurs tests ? Concrètement les collègues ne peuvent plus faire classe. C’est insupportable pour les directeurs, du point de vue de la responsabilité, des nouvelles tâches que cela implique : il faudra vérifier les déclarations, les dates, pour accepter le retour en classe de chaque élève ?

Le directeur de cabinet a confirmé le maintien du protocole Blanquer, qui sera donc sans doute bientôt suivi d’une 51ème puis d’une 52ème version tout aussi inapplicable que les précédentes.
Les 1500 médiateurs COVID ne constituent pas une réponse adaptée. Pour la FNEC FP-FO, la campagne de test doit être organisée par les autorités sanitaires compétentes et non par les personnels de l’Éducation nationale dont ce n’est pas la mission.

Evaluations et examens

La FNEC FP-FO demande l’abandon pur et simple des évaluations mi-CP et non leur simple report.

Concernant le baccalauréat, elle fait part au Directeur de Cabinet de la pétition intersyndicale FO, SNES, SNEP, CGT, SUD et SNALC pour le report des épreuves de spécialités prévues en mars et leur transformation en épreuves finales et le rétablissement des épreuves nationales, terminales et anonymes dès la session 2022. La FNEC FP-FO portera ces revendications lors de la réunion organisée par le ministère le 21 janvier. Elle appelle les personnels à signer massivement la pétition et à adopter des motions, si possible dans l’unité.

En grève jeudi 27 janvier !

En grève jeudi 27 janvier !

Le SNUDI-FO 53 appelle à une journée massive de grève le 27 janvier

Faites remonter le nombre de grévistes dans vos écoles

Déclaration d’intention à envoyer avant lundi soir minuit !

Participer à la caisse de solidarité du SNUDI-FO 53

Pour les adhérents : solliciter la caisse de solidarité

Appels mayennais éducation FO-FSU-SUD et interpro FO-CGT-FSU-Solidaires

Après la journée de grève massive jeudi 13 janvier, que retenir des annonces de Castex et Blanquer ? Certes ils ont été déstabilisés par l’ampleur de la grève, ils ont été contraints de recevoir les organisations syndicales, de changer de ton… mais leurs réponses sont-elles à la hauteur de la mobilisation ?

Pour le SNUDI-FO la réponse est non !

Mais au vu de la situation actuelle, ce rapport de force démontre bien toute la colère qui monte dans les établissements face à des protocoles plus inapplicables les uns que les autres, le manque de moyens humains, de protection et financiers, le mépris du gouvernement et du ministère. Il démontre la force du collectif, et le poids que nous pouvons mettre ensemble dans l’action, en témoigne les premiers reculs du ministère avec le recrutement de tous les collègues inscrits sur liste complémentaire !

(lire le communiqué FNEC-FP FO suite à la réunion du 19 janvier)

Cependant, rien n’est réglé, il faut maintenant que ces listes complémentaires soient abondées !

En effet, les remplaçants manquent partout, et des centaines de fermetures de classes sont d’ores et déjà
annoncées lors des prochains CTSD. Nous manquons de personnels RASED, d’enseignants référents et d’enseignants spécialisés.

Par ailleurs le ministre maintient sa volonté de faire appel à des contractuels en CDD, qu’il a d’ailleurs du mal à
trouver depuis la rentrée scolaire !

Bref… MM. Castex et Blanquer veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes !

Alors que la revendication salariale s’est exprimée avec force le 13 janvier par des personnels qui n’en peuvent plus de leurs conditions de travail dégradées, du gel de la valeur du point d’indice, du blocage des salaires, qu’ont répondu le premier ministre et le ministre de l’Education nationale ? Rien ! Quant aux AESH, ils n’ont même pas été évoqués !

Alors que les personnels sont confrontés à des protocoles inapplicables qui génèrent un désordre indescriptible dans les écoles, MM Castex et Blanquer ont annoncé… que ceux-ci seraient maintenus ! Inacceptable ! Et ce ne sont pas les quelques masques FFP2, qui arriveront on ne sait trop quand, qui sont de nature à contenter les collègues !

La colère des personnels vis-à-vis de ces réponses est légitime ! Ils sont donc fondés à poursuivre la mobilisation, à établir leurs revendications pour défendre leurs conditions de travail et chiffrer leurs besoins en postes, en moyens de remplacement au sein de leurs écoles, à revendiquer l’augmentation immédiate des salaires et l’arrêt des protocoles qui rendent fous !

Pour satisfaire ces revendications, pour obtenir que chaque collègue soit remplacé, que toutes les ouvertures de classes nécessaires soient prononcées, pour qu’aucune fermeture de classe n’ait lieu, le SNUDI-FO exige l’ouverture pleine et entière des listes complémentaires, leur réabondement et la mise en place de concours exceptionnels !

C’est maintenant qu’il faut agir pour obtenir les moyens de fonctionner !

Le SNUDI-FO appelle les personnels à se réunir dans les écoles et à être massivement en grève jeudi 27 janvier, au côté des autres salariés pour revendiquer :

  • L’augmentation de 22,6% de la valeur du point d’indice (pouvoir d’achat perdu par les fonctionnaires depuis 2000)
    et une augmentation immédiate de 183€ indiciaires nets mensuels comme l’ont obtenu les hospitaliers (49 points d’indice) !
  • Un vrai statut et un vrai salaire pour les AESH !
  • Les créations de postes et le recrutement immédiat de personnels sous statut (par le recrutement de la totalité des candidats aux concours inscrits sur les listes complémentaires, le réabondement de celles-ci, la mise en place de concours exceptionnels…) pour que tous les remplacements soient assurés, pour que toutes les classes et tous les postes nécessaires soient ouverts lors des prochains CTSD, pour qu’aucune classe ne ferme !
  • L’embauche d’AESH à hauteur des besoins et dans le respect des notifications MDA
  • De réelles mesures de protection en lieu et place de protocoles inapplicables !

Boîte à archives :

Temps partiel et disponibilité 2022

Temps partiel et disponibilité 2022

Envoyez aux élus FO à la CAPD votre fiche de suivi en ligne


TEMPS PARTIEL

Les demandes peuvent être formulées de Droit ou sur autorisation, il est fixé à 50%, 75% et 80%.

Le Temps partiel de Droit est attribué :

– lors de la naissance ou l’adoption d’un enfant,
– pour des soins à donner à son conjoint (marié, pacsé, concubin), à un enfant à charge (moins de 20 ans) ou à un ascendant atteint d’un handicap.

Toute demande de temps partiel de droit en cours d’année scolaire doit être faite auprès de la DSDEN 53, au moins 1 mois avant le début du temps partiel.

Le Temps partiel sur autorisation :

Il est accordé pour une année scolaire entière. « A la suite d’un entretien préalable, ce temps partiel peut être refusé sur les motifs liés aux nécessités de service. »

Vous pouvez transmettre toutes les pièces que vous jugerez utiles à l’examen de votre demande. Demandez conseil au syndicat.

Attention, les demandes pour l’année scolaire 2022/2023 sont à transmettre à la DSDEN 53 avant le 15 mars 2022 ! (Date impérative, le cachet faisant foi)

Contactez vos représentants SNUDI-FO, pour un accompagnement dans cette démarche, pour toute demande d’information, de conseils et d’aide dans la formulation de votre demande.

La circulaire temps partiel 2022-2023

Les imprimés


LE CONGE PARENTAL

Il peut être accordé à l’issue du congé maternité pour une durée de 6 mois renouvelable par période de 6 mois jusqu’aux 3 ans de l’enfant.

La demande doit être adressée à la division DIPPAG par courrier au moins 2 mois avant le début du congé sollicité. Tout enseignant qui renouvelle son congé parental (durée supérieure à 12 mois) perdra son affectation à titre définitif.


DISPONIBILITÉ

Conditions d’obtention

La mise en disponibilité peut relever de deux catégories (cf annexe 1):

-La disponibilité de droit

-La disponibilité sur autorisation

Les demandes de disponibilité sur autorisation (1ère demande ou renouvellement) sont étudiées en fonction des nécessités de service et feront l’objet d’entretiens préalables.

Elles sont accordées pour une année scolaire complète.

La circulaire disponibilité 2022-2023

Les imprimés :

Attention, une nouvelle demande devra parvenir à l’IEN de circonscription, par voie postale cachet de la poste faisant foi le vendredi 11 mars 2022 au plus tard (l’IEN transmettra au fur et à mesure au service DIPPAG pour le lundi 14 mars 2022 délai de rigueur).

Pour une demande de renouvellement, de réintégration ou de démission, la demande est à adresser par voie postale, cachet de la poste faisant foi pour le vendredi 11 mars 2022 au plus tard, à DSDEN de la Mayenne Service DIPPAG.

Contactez vos représentants SNUDI-FO, pour un accompagnement dans cette démarche, pour toute demande d’information, de conseils et d’aide dans la formulation de votre demande.


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Le syndicat libre et indépendant des gouvernements quels qu’ils soient,
le syndicat qui n’a qu’une seule loi : la défense de vos droits !
(66% du montant est déductible des impôts ou donne lieu à un crédit d’impôt)
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Bulletin 2021-2022

Rassemblements le 20 janvier, la suite du 13

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20 JANVIER
RASSEMBLEMENTS EN MAYENNE

La mobilisation du 13 janvier a été massive (la preuve en images),
quelques miettes et de vagues promesses en sont ressorties.

MAIS

 nous ne pouvons-nous en satisfaire!

Nous devons poursuivre la mobilisation et maintenir la pression.

Laval * 13/01/2022*

JEUDI 20 JANVIER 17H30

LAVAL Préfecture
CHÂTEAU-GONTIER Promenade de la résistance (devant la salle des fêtes)
MAYENNE Place Georges Clémenceau

 

appel aux rassemblements à retrouver ici

Évènements à venir