Motion : retrait du projet de réforme des retraites
Motion des 37 délégués de secteur du SNUDI-FO 53
Motions AG des personnels de l’Éducation Nationale
– 31 janvier
– 7 mars
– 16 mars
Nous sommes 2 PE de l’école de BOUCHAMPS.
Nous nous félicitons des grèves et mobilisations historiques depuis le 19 janvier.
Pour obtenir le retrait du projet de réforme des retraites lancé par Macron, des millions de salariés, de jeunes, d’étudiants, de privés d’emplois et de retraités se sont levés et mobilisés, dans la rue, avec leurs syndicats unis.
Que nous reste-t-il à démontrer ? Le gouvernement est ultra minoritaire ; ne comprend-il pas que la population, dont les salariés que nous sommes, rejette massivement ce projet de réforme ?
« Mieux vaut perdre quelques jours de salaires, que partir à 64 ans avec une retraite de misère ! »
Nous n’attendons rien du gouvernement, nous ne voulons pas de pédagogie, nous voulons le retrait de cette réforme, nous voulons le retour des 37,5 annuités et des 60 ans d’âge légal de départ à la retraite.
La retraite, c’est notre salaire différé, ce sont nos cotisations, c’est notre sécurité sociale : elle est à nous, des générations se sont battues pour la gagner et nous nous battrons pour la garder !
N’attendons pas que le mouvement s’essouffle, ne nous inscrivons pas dans un calendrier de grèves perlées. Si le gouvernement s’entête, nous nous déclarons prêts au blocage du pays. PE, nous envoyons notre déclaration d’intention pour toute la période.
Avec le 49.3, le gouvernement signe un aveu d’échec total et provoque un nouveau coup de force de Macron, contraint par la mobilisation de toutes et tous depuis le 19 janvier !
On va gagner; maintenons la pression dès maintenant ! Jusqu’au RETRAIT
Nous appelons tous nos collègues du département de la Mayenne à prendre position dans leurs écoles, via des motions comme celle-ci, à les faire remonter à leurs syndicats, et à rester pleinement mobilisés, prêts à la grève dès maintenant pour gagner le retrait de cette contre-réforme.
Noms, prénoms :
Bénédicte CROISSANT, Florence PERRET.
Nous sommes 3 PE et 1 AESH de l’école de CHERANCE.
Nous nous félicitons des grèves et mobilisations historiques depuis le 19 janvier.
Pour obtenir le retrait du projet de réforme des retraites lancé par Macron, des millions de salariés, de jeunes, d’étudiants, de privés d’emplois et de retraités se sont levés et mobilisés, dans la rue, avec leurs syndicats unis.
Que nous reste-t-il à démontrer ? Le gouvernement est ultra minoritaire ; ne comprend-il pas que la population, dont les salariés que nous sommes, rejette massivement ce projet de réforme ?
« Mieux vaut perdre quelques jours de salaires, que partir à 64 ans avec une retraite de misère ! »
Nous n’attendons rien du gouvernement, nous ne voulons pas de pédagogie, nous voulons le retrait de cette réforme, nous voulons le retour des 37,5 annuités et des 60 ans d’âge légal de départ à la retraite.
La retraite, c’est notre salaire différé, ce sont nos cotisations, c’est notre sécurité sociale : elle est à nous, des générations se sont battues pour la gagner et nous nous battrons pour la garder !
N’attendons pas que le mouvement s’essouffle, ne nous inscrivons pas dans un calendrier de grèves perlées. Si le gouvernement s’entête, nous nous déclarons prêts au blocage du pays. PE, nous envoyons notre déclaration d’intention pour toute la période.
Avec le 49.3, le gouvernement signe un aveu d’échec total et provoque un nouveau coup de force de Macron, contraint par la mobilisation de toutes et tous depuis le 19 janvier !
On va gagner; maintenons la pression dès maintenant ! Jusqu’au RETRAIT
Nous appelons tous nos collègues du département de la Mayenne à prendre position dans leurs écoles, via des motions comme celle-ci, à les faire remonter à leurs syndicats, et à rester pleinement mobilisés, prêts à la grève dès maintenant pour gagner le retrait de cette contre-réforme.
Noms, prénoms :
Laetitia CLAVIER, Laetitia CADEAU, Nathalie DERMAUT, Marie DESERT.
MOTION D’ÉCOLE CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES (Changé)
Nous, PE et AESH de l’école du Chemin Vert (Changé), déclarons être opposés à la réforme des retraites voulue par le gouvernement Macron-Borne, aussi bien au passage de l’âge de départ de 62 à 64 ans qu’à l’allongement à 43 ans de cotisations. Avec ces 2 mesures, nous sommes tous perdants quel que soit notre métier. Peu de professions, et surtout pas les nôtres, se voient encore en poste et efficaces à 64 ou 67 ans. Les femmes, les métiers pénibles mais non reconnus comme tels ou ceux qui, par obligation, ont des carrières hachées, sont encore plus impactés. Les arguments de justice sociale, présentés comme des contreparties aux efforts demandés, se sont dégonflés les uns après les autres. Et les gains supposés seront de toute façon amputés par l’augmentation du nombre de chômeurs de plus de 50 ans, de personnes au RSA et de personnes en arrêt maladie. Le régime actuel des retraites n’est pas déficitaire. De nombreux économistes, y compris au COR (Conseil d’orientation des retraites), ont réaffirmé que les dépenses des retraites ne vont pas augmenter et seront même orientées à la baisse pour les années à venir. On nous assène sans arrêt l’argument démographique et l’augmentation de la durée de vie. Mais le « papy-boom » est déjà derrière nous et les précédentes réformes des retraites ont décalé l’âge de départ au-delà des gains d’espérance de vie. Par conséquent, c’est le contraire qui se produit : la durée de la retraite diminue, toute nouvelle réforme va la raccourcir davantage. Et les belles années de notre retraite, ce sont celles de 62 à 67 ans, pas celles hypothétiques que nous aurions à 85 ans ! Le financement du régime des retraites n’est pas la vraie raison de cette réforme. Le gouvernement a choisi de diminuer ses recettes fiscales en faisant de nombreux cadeaux aux plus aisés et aux grandes entreprises sans exiger de contreparties. Et maintenant il se sert des retraites comme source de financement pour boucher les trous. Nous sommes également bien conscients que pour nous, fonctionnaires, si cette réforme passe, la prochaine étape est l’alignement du calcul de nos retraites sur celui du privé. Pour toutes ces raisons, nous demandons l’abandon de cette réforme et une réelle justice sociale pour le financement du budget de l’Etat.
Noms et prénoms des signataires : Samuel Devrand, Sophie Bourcier, Sandrine Robineau, Eline Lolivret, Delphine Bertron, Véronique Gracin-Péniguel, Marylin Brunel, Laëtitia Tanné, Guénaëlle Davoust, Delphine Rojelj, Melissa Verriere, Laurence Frignac, Florence Martin, Caroline Huet, Evelyne Le Fellic
Nous sommes 2 PE de l’école de Désertines Nous nous félicitons des grèves et mobilisations historiques depuis le 19 janvier. Pour obtenir le retrait du projet de réforme des retraites lancé par Macron, des millions de salariés, de jeunes, d’étudiants, de privés d’emplois et de retraités se sont levés et mobilisés, dans la rue, avec leurs syndicats unis. Que nous reste-t-il à démontrer ? Le gouvernement est ultra minoritaire ; ne comprend-il pas que la population, dont les salariés que nous sommes, rejette massivement ce projet de réforme ? « Mieux vaut perdre quelques jours de salaires, que partir à 64 ans avec une retraite de misère ! » Nous n’attendons rien du gouvernement, nous ne voulons pas de pédagogie, nous voulons le retrait de cette réforme, nous voulons le retour des 37,5 annuités et des 60 ans d’âge légal de départ à la retraite. La retraite, c’est notre salaire différé, ce sont nos cotisations, c’est notre sécurité sociale : elle est à nous, des générations se sont battues pour la gagner et nous nous battrons pour la garder ! Nous estimons qu’il faut désormais lancer un ultimatum à ce gouvernement : si le projet n’est pas retiré, alors n’est-il pas temps pour les confédérations, d’appeler à une grève générale interprofessionnelle ? N’est il pas temps de reconduire la grève dès le 7 mars pour mettre le pays à l’arrêt ? N’attendons pas que le mouvement s’essouffle, ne nous inscrivons pas dans un calendrier de grèves perlées. Si le gouvernement s’entête, nous nous déclarons prêts au blocage du pays dès le 7 mars. PE, nous envoyons notre déclaration d’intention pour le 7 mars, mais aussi pour les jours suivants. Nous pouvons gagner ! Nous appelons tous nos collègues du département de la Mayenne à prendre position dans leurs écoles, via des motions comme celle-ci, à les faire remonter à leurs syndicats, et à rester pleinement mobilisés, prêts à la grève dès le 7 mars pour gagner le retrait de cette contre réforme. HALLIEZ Hélène et LE GOFF Floriane
Nous sommes 4. PE de l’école de Bais
Comme tous les salariés nous rejetons le projet de réforme des retraites proposé par le gouvernement et estimons qu’il vaut mieux « perdre quelques jours de salaires, que partir à 64 ans avec une retraite de misère ! »
Nous voulons le retrait de cette réforme, nous voulons le retour des 37,5 annuités et des 60 ans d’âge légal de départ à la retraite.
La retraite, c’est notre salaire différé, ce sont nos cotisations, c’est notre sécurité sociale : elle est à nous, des générations se sont battues pour la gagner et nous nous battrons pour la garder !
Nous estimons qu’il faut désormais lancer un ultimatum à ce gouvernement : si le projet n’est pas retiré, alors n’est-il pas temps pour les confédérations, d’appeler à une grève générale interprofessionnelle de 24 heures ?
N’attendons pas que le mouvement s’essouffle, ne nous inscrivons pas dans un calendrier de grèves perlées. Si le gouvernement s’entête, nous nous déclarons prêts au blocage du pays.
Tous ensemble, salariés du public, du privé, jeunes et retraités, en grève et dans la rue, nous pouvons gagner !
Nous appelons tous nos collègues du département de la Mayenne à prendre position dans leurs écoles, via des motions comme celle-ci, à les faire remonter à leurs syndicats, à s’organiser et à participer massivement au mouvement de grève du 7 février prochain .
Noms, prénoms :
Baffou Marie
Echivard Anita
Pichon Cécile
Ricard Amélie