Nouvelle avalanche de fermetures de classes ?

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Vers une nouvelle avalanche de fermetures de classes ?

0 poste  pour l’Académie des pays de la Loire… Et une dotation certainement à nouveau négative pour la Mayenne.
Avec les CE1 “100% réussite” en REP, la scolarisation obligatoire à 3 ans, le manque de postes RASED, de trop nombreuses classes surchargées… C’est vraisemblablement une nouvelle saignée qui s’annonce pour les écoles mayennaises.

2 janvier 2019:

Dotation académique : 0
Le recteur a pour projet de retirer 17 postes à notre département. Si cela se confirme au CTA de mercredi 9 janvier il faudra s’attendre à une véritable hécatombe en #Mayenne.
Force Ouvrière défendra dans toutes les instances et en amont, toutes les ouvertures de classes nécessaires et se prononcera contre les fermetures programmées.
Force Ouvrière soutiendra toutes les initiatives des collègues et des parents d’élèves pour défendre leur école, les postes, les ouvertures nécessaires et les non fermetures de classes.



Pas de supérieur hiérarchique à l’école !

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Déclaration intersyndicale à télécharger

Les organisations syndicales SNUipp-FSU ; SNUDI-FO ; CGT-UNSEN et SUD-éducation ont pris connaissance des récentes déclarations du ministre de l’Éducation nationale annonçant une future loi pour la création d’un statut de directeur d’école. Nos organisations dénoncent une nouvelle fois le fait que cette annonce soit faite dans les médias avant même que les organisations syndicales n’en soient elles-mêmes informées et que l’agenda social prévoit des discussions sur cette question en 2019. Ceci n’est pas acceptable.

Ce nouveau statut entraînerait la mise en place d’un lien de subordination entre ces nouveaux personnels de direction et leurs collègues adjoint-es, pouvant conduire à des relations managériales au sein des équipes et une nouvelle organisation administrative de l’école, ce que nous refusons.

Le ministre de l’Éducation nationale reprend aujourd’hui le vieux projet de créer un statut hiérarchique de directeur à la tête d’un établissement doté d’un fonctionnement autonome que les mobilisations importantes des enseignants du premier degré, ont permis de bloquer jusqu’à aujourd’hui. : « Maîtres directeurs » de Monory en 1986 (décret retiré), expérimentation de l’article 86 de la loi Fillon de 2004 (abrogé en 2011), décret EPEP De Robien en 2006-2007 (jamais publié).

Pour les organisations syndicales SNUipp-FSU ; SNUDI-FO ; CGT-UNSEN et SUD-éducation ce projet, s’il voyait le jour, conduirait à une modification en profondeur de l’école publique et à son morcellement :
– regroupement d’écoles autour du collège avec tutelle hiérarchique de du principal.
– recrutement par concours des futurs directeurs dans les écoles de 10 classes ou plus.
– fusion d’écoles pour arriver à 10 classes ou plus.
– déplacement de classes élémentaires CM1 et CM2 dans le collège

Il en résulterait :
– une menace sur l’existence même de l’école maternelle et plus largement une perte de l’identité du 1er degré ;
– une réduction du nombre d’écoles et le développement d’écoles à taille inhumaine ;
– un renforcement du poids des collectivités territoriales dans le fonctionnement des
écoles et des inégalités entre les écoles ;
– une remise en question de la place spécifique du conseil des maîtres et de l’ensemble des relations entre les personnels ;
– une possible remise en cause du statut des PE fonctionnaire d’Etat.

Il attaquerait la place spécifique du conseil des maîtres et l’ensemble des relations entre les personnels.
Nos organisations se prononcent contre tout statut de directeur et tout statut d’établissements autonomes. Elles porteront leurs revendications pour une meilleure reconnaissance de la direction d’école, passant notamment par une augmentation des décharges de service, une amélioration financière, une aide administrative pour chaque directeur et directrice avec des emplois statutaires de la Fonction publique.

Montreuil, le 20 décembre 2018

Gratuité des transports scolaires: pétition

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FO vous invite à signer et à partager la pétition en ligne :

La loi NOTRe de 2015 qui crée les nouvelles régions organise le transfert de compétences. Depuis le 1er septembre 2017, la compétence « transports scolaires » est transférée du département à la région.

Rappel: Lors du CDEN du 29 novembre dernier, si l’augmentation des tarifs a été unanimement critiquée, FO a été la seule organisation à demander la gratuité des transports. Nous avons demandé que le vote soit organisé en 2 temps, ce qui n’a pas été suivi d’effet…

1- pour ou contre les augmentations envisagées par la région Pays de la Loire.
2- pour ou contre la gratuité totale des transports scolaires dans notre département.

L’instruction publique est obligatoire et par conséquent gratuite. Ce qui est obligatoire ne peut être payant !

GRATUITE DES TRANSPORTS SCOLAIRES !

Notre région envisage aujourd’hui le tarif de 120€ et de donner la gratuité à partir du 3ème enfant soit une augmentation:
de 71.42 % pour 1 enfant,
de 128.57 % pour 2 enfants,
de 92 % pour 3 enfants

Dans ce contexte, ce sont tous les salariés et sans emplois qui sont touchés. Les syndicats de la FNEC-FP FO, fédérés et confédérés, avec leur Union départementale, considèrent que la revendication relative à l’augmentation générale des salaires est plus que jamais d’actualité. Les dispositions que veulent prendre les technocrates locaux de la région ne répondent pas à ces attentes et ne feront qu’accentuer la baisse du pouvoir d’achat !

Urgence sociale

Urgence sociale

Salaires, taxes, services publics, retraites, école …. Toutes les revendications sont légitimes et urgentes.

Le gouvernement doit céder, répondre et négocier.

Ce qui s’est exprimé ce week-end à travers la colère initiée par les « gilets jaunes », c’est le rejet par les salariés et l’immense majorité de la population d’une politique d’austérité et de baisse du coût du travail qui s’attaque à toutes les catégories, remettant en causes les conditions d’existence de toute la population. C’est la colère face au mépris et au refus de toute discussion.

Le gouvernement doit entendre, les revendications sont claires et se rejoignent.

Les lycéens qui depuis le début de la semaine, bloquent plus d’une centaine de lycées l’ont bien compris : la réforme du lycée, la mise en place de Parcoursup, la hausse des frais d’inscription à l’université sont insupportables et doivent être abandonnés.
FO met en garde le gouvernement contre toute provocation à l’égard des lycéens.

Nous maintenons toutes nos revendications:

– Augmentation générale des salaires, des retraites et des minima sociaux, augmentation de 16% de la valeur du point d’indice
– Suppression de la hausse de la CSG
– Gel des taxes sur les carburants
– Abandon du projet de système universel de retraite par points
– Abandon de Parcoursup et de la réforme du lycée
– Annulation des fermetures de postes et des regroupements de services 

Le SNUDI-FO 53 invite les PE à discuter de cette situation, à participer aux réunions d’information syndicale, aux stages organisés par FO.

Le gouvernement -et lui-seul- a la responsabilité de satisfaire les revendications les plus urgentes et d’ouvrir des négociations. Il porte -et lui-seul- l’entière responsabilité de la situation actuelle.

Carte scolaire 2019

Carte scolaire 2019

CDEN du 12 mars :

Déclaration FNEC-FP FO

CTSD du 12 mars :

Mesures prises par le DASEN

Déclaration FNEC-FP FO

CTSD du 4 mars

Fabien Orain, Hélène Colnot et Cédric Burnel représentaient la FNEC-FP FO 53 à ce CTSD.

Communiqué FNEC-FP FO

Mesures prises par le DASEN

Lire la déclaration FO (discrimination syndicale – école de la confiance)


Groupe de travail du 25 février: Le DASEN exclut FO

Vous craignez une fermeture ou estimez qu’il est nécessaire d’ouvrir à la rentrée prochaine ? Contactez le SNUDI-FO 53 qui défendra toujours avec détermination votre dossier, en CTSD mais aussi, et surtout en amont !

Pour le suivi et la défense de votre situation, transmettez au syndicat votre prévision, au choix, par email (contact@snudifo-53.fr), téléphone (0674377352), via le formulaire en ligne, ou via ce tableur à télécharger (.ods).

A lire: Rentrée 2019, le tour de passe-passe du ministre

14 janvier 2019 : c’est confirmé, ce sera -17 postes pour la Mayenne

2 janvier 2019 :

Dotation académique : 0
Le recteur a pour projet de retirer 17 postes à notre département. Si cela se confirme au CTA du lundi 14 janvier; il faudra s’attendre à une véritable hécatombe en #Mayenne.
Force Ouvrière défendra dans toutes les instances et en amont, toutes les ouvertures de classes nécessaires et se prononcera contre les fermetures programmées.
Force Ouvrière soutiendra toutes les initiatives des collègues et des parents d’élèves pour défendre leur école, les postes, les ouvertures nécessaires et les non fermetures de classes.

Tenue des instances départementales:

25/02/19: groupe de travail départemental (projet du DASEN, ouvertures/fermetures)

4/03/19: CTSD carte scolaire (décisions du DASEN)

12/03/19: CDEN carte scolaire (décisions entérinées en préfecture)

 





CDEN du 29 novembre 2018

CDEN du 29 novembre 2018

Lire la déclaration FNEC-FP FO 53

Notre intervention en CDEN:

Nous avons été la seule organisation à demander la gratuité des transports. Nous avons demandé que le vote soit organisé en 2 temps:

1- pour ou contre les augmentations envisagées par la région Pays de la Loire.
2- pour ou contre la gratuité totale des transports scolaires dans notre département.

Rappel: La loi NOTRe de 2015 qui crée les nouvelles régions organise le transfert de compétences. Depuis le 1er septembre 2017, la compétence “transports scolaires” est transférée du département à la région.

Selon nous, l’instruction publique est obligatoire et par conséquent gratuite. Ce qui est obligatoire ne peut être payant ! Il en va de même pour le transport. Les élèves qui habitent loin des établissements scolaires sont déjà, de fait, pénalisés par le temps perdu et la fatigue engendrée.

Nous considérons que c’est à l’Etat, directement ou indirectement, d’assurer la gratuité des transports scolaires.

En dépit de ce que prétendent certains élus, FO rappelle qu’il n’y a aucune obligation d’harmoniser les différents régimes issus des départements.

La preuve : En Auvergne Rhône Alpes ou en Occitanie, la région laisse les départements de l’Allier et du Lot poursuivre la gratuité du transport scolaire.

18 départements assuraient jusqu’en 2017 le service gratuitement même si, parfois, des « frais de dossier » les rendaient de fait payants.

En Mayenne, après la gratuité totale, le forfait familial a été instauré il y a une vingtaine d’années. Présenté alors comme « symbolique », aujourd’hui il représente 70€ pour 1 enfant, 105 pour 2, 125 pour 3 et +. C’est déjà trop pour certaines familles.

Notre région envisage aujourd’hui le tarif de 120€ et de donner la gratuité à partir du 3ème enfant soit une augmentation:

  • de 71.42 % pour 1 enfant,
  • de 128.57 % pour 2 enfants,
  • de 92 % pour 3 enfants

Dans ce contexte, ce sont tous les salariés et sans emplois qui sont touchés. Les syndicats de la FNEC-FP FO, fédérés et confédérés considèrent que la revendication relative à l’augmentation générale des salaires est plus que jamais d’actualité. Les dispositions que veulent prendre les technocrates locaux de la région ne répondent pas à ces attentes et ne feront qu’accentuer la baisse du pouvoir d’achat !

Lire à ce propos la déclaration de la commission exécutive (CE) de l’union départementale FO

Vote sur le projet présenté:

3 abstentions

14 contre (Dont FO, UNSA, SUD, FSU, CGT)

0 pour

Hélène Colnot, pour la FNEC-FP FO 53

Retraites: non au système par point !

Retraites: non au système par point !

LE SYSTÈME « UNIQUE » DE LA RETRAITE PAR POINTS,
CE N’EST PAS L’ÉGALITÉ,
C’EST LA DESTRUCTION DE NOTRE SYSTÈME DE RETRAITES

Lire le 4 pages de la FNEC-FP FO académique

Télécharger le Tract de l’UD FO 53

Le principe : chacun cotise au long de son parcours professionnel pour acquérir des « points » qui permettront le calcul de sa retraite selon le prétendu principe d’égalité avancé du « 1€ cotisé donne les mêmes droits pour tous ». Au moment de la retraite, on multiplie le nombre de points acquis par la valeur du point fixée à ce moment par le gouvernement.

  • Nivellement par le bas par la destruction des différents régimes de retraite.
  • Plus de prise en compte des 25 « meilleures années » (privé) ou des 6 « derniers mois hors primes » (fonction publique) pour calculer la retraite puisque c’est tout au long de sa vie professionnelle qu’on « capitalisera » des points.
  • Fin de l’âge du départ à la retraite car chacun sera amené personnellement à « arbitrer » le moment de son départ selon ses points déjà accumulés. Cela sonne aussi la disparition de la prise en compte des « carrières longues ».
  • Les femmes seront particulièrement victimes du système, ayant souvent été contraintes de travailler à temps partiel, ou de subir des périodes de sans activité professionnelle.
  • Pensions de réversion remises de fait en cause : dans un système unique par points, comment intégrer ce droit ?
  • Plus aucun salarié ne pourra calculer à l’avance le montant de sa pension qui dépendra de la valeur du point au moment de son départ. La valeur du point sera fixée et revue par le gouvernement en fonction du contexte économique. Exemple avec l’ARRCO (complémentaires des non-cadres) qui fonctionne déjà selon un système « par points » : la valeur du point d’achat a augmenté de 10 % en 6 ans. La valeur de liquidation n’a pas bougé.
  • Le système par points, c’est la fin de la solidarité, l’individualisation et l’incitation à la capitalisation. Que deviendront les périodes de chômage, les congés maternité, les périodes d’arrêts maladie… si les revenus ne permettent pas d’acheter des points pendant ces périodes ? Ceux qui le pourront accéderont à des complémentaires privées. Les autres devront se contenter de leurs maigres pensions.
  • L’objectif de cette contre-réforme, c’est de baisser le coût des retraites et aussi d’adapter le montant des pensions aux aléas économiques. Passer de 14 à 12 % du PIB – ce qui guide le gouvernement – revient en moyenne à une baisse de 15 % du montant des pensions. Un retraité qui aurait touché 1 000 € avec le système actuel, ne touchera plus que 850 €.

Voilà ce que signifie un système de retraites « par points ».
NOUS N’EN VOULONS PAS !
Pour FO, il n’y a qu’un mot d’ordre :
RETRAIT DE CE PROJET DESTRUCTEUR DE NOS DROITS.
Amélioration du système actuel par répartition et retour à une pension complète dès 37,5 annuités.

ALERTE: statut de directeur et EPEP

ALERTE: statut de directeur et EPEP

Le Ministre Blanquer annonce une loi pour imposer le statut de directeur supérieur hiérarchique et les EPEP

Une nouvelle fois, le ministre de l’Éducation nationale annonce par voie de presse le 12 novembre qu’il entendait déposer un projet de loi pour :

►instaurer un statut de directeur supérieur hiérarchique des adjoints !
►créer des EPEP qui transforment l’école de la République en une multitude d’établissements autonomes de 10 à 20, 30, voire même 40 classes !

Les Etablissements Publics d’Enseignement Primaire : une arme de guerre contre l’école de la République

Le ministre met en oeuvre dans l’Éducation nationale les orientations de CAP22 qui prône le transfert des services de l’État aux grandes régions et aux collectivités territoriales. Ce projet s’articule avec le projet de loi Blanquer « école de la confiance » qui instaure la dérogation au statut général de la Fonction publique ainsi qu’aux horaires et contenus des enseignements.

Avec la constitution des EPEP, le ministre veut regrouper les écoles pour fermer les classes et des écoles entières. Ainsi selon le ministère, il s’agit de passer de 45 000 écoles à 18 000 établissements du premier degré (80% des écoles seraient supprimées ainsi que leurs directions !).

Le « statut » de directeur : une duperie dirigée contre tous les enseignants Ce projet préfigure l’éclatement du statut particulier des enseignants du premier degré préparant notre transfert aux collectivités territoriales : chaque conseil d’administration d’établissement définirait sous la tutelle des élus politiques locaux ses propres
règles avec à sa tête, un directeur placé sous la coupe des collectivités déjà très intrusives en relation avec la réforme des PEdT.

Ce projet préfigure de nouveaux directeurs avec un statut les plaçant en dehors du corps des PE pour appliquer les contre-réformes ministérielles. Des nouveaux directeurs qui évalueraient les collègues dans le cadre du décret PPCR instaurant l’évaluation arbitraire et la promotion au mérite. Des nouveaux directeurs qui recruteraient demain les personnels de leur établissement.

Des « Cités éducatives » dès 2019, expérimentation des EPEP Blanquer Blanquer tente d’aller vite. Au conseil des ministres du 18 juillet, il annonce 60 cités éducatives dès la rentrée 2019 dans 60 grands quartiers. Ainsi, le 7 novembre, la municipalité de Créteil présentait son projet de construction d’une « Cité éducative » destinée à accueillir « 800 élèves », près de 40 classes, en supprimant au passage 4 écoles (dont 2 maternelles) pour répartir les élèves par cycle sur 3 sites dont l’organisation pédagogique est déjà fixée par le maire(1).

NON aux EPEP et au directeur supérieur hiérarchique !

Non à la suppression de la maternelle et aux regroupements forcés des écoles !

Depuis 1986(2),ces projets se sont toujours heurtés à la résistance des collègues pour défendre notre statut d’enseignants du premier degré. Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation de tous, pour contraindre le ministre à abandonner son projet de loi « EPEP – statut hiérarchique du directeur » et à ouvrir des négociations sur la direction d’école, pour l’augmentation des décharges de service, une réelle amélioration financière : 100 points d’indice pour tous ; une aide administrative pour chaque directeur avec des emplois statutaires de la Fonction publique.

►Le SNUDI FO invite les syndicats départementaux à informer les enseignants du 1er degré des projets destructeursdu ministère. Il les invite à multiplier les prises de position dans les écoles et les réunions.
►Le SNUDI-FO invite les organisations syndicales nationales à une réunion intersyndicale, en urgence à ce sujet.

(1) – La loi Peillon de refondation de l’école a rattaché la 6ème au cycle 3 (CM1-CM2-6ème), introduit les conseils écoles-collège et mis en place les PEdT. Le ministre
Blanquer s’appuie dessus pour tenter d’imposer la suppression des écoles maternelles et leur fusion avec les écoles élémentaires dans des établissements avec un néodirecteur
supérieur hiérarchique sous la tutelle des élus politiques.
(2) – Rappelons qu’il s’agit de reprendre un vieux projet de créer un statut hiérarchique de directeur à la tête d’un d’établissement doté d’un fonctionnement autonome.
Les mobilisations importantes des enseignants du premier degré, ont permis de les bloquer et de maintenir notre statut d’enseignant fonctionnaire d’Etat jusqu’à aujourd’hui. : « maîtres directeurs » de Monory en 1986 (décret retiré), expérimentation de l’article 86 de la loi Fillon de 2004 (abrogé en 2011), décret De Robien en
2006-2007 (qui n’a jamais été publié).

Évènements à venir